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Il est des fois où l'on se demande si on fait les bons choix; je me trouve dans ce cas de figure...
Que faire? Le choix le plus raisonnable est de continuer la licence - l'école d'ingénieur si possible - et d'aviser par la suite; pourtant quelque chose m'attire ailleurs.
"Métier pas sûr" clameront certains, "Tu es fou" diront d'autres.
Ces mises en garde je les connais pour les avoir proférées à maintes reprises moi aussi, mais un doute s'intalle quand bien même en moi lorsque j'ai mon reflex en main.
Un grand père photographe professionnel, un père amateur de photo et moi qui suis passionné.. La fibre familiale, à croire que j'ais réellement ça dans les veines.
Que faire donc? Le métier dans lequel on se sent heureux, ou bien choisir le lucratif?
Même si mes études n'ont pas pour vocation première l'argent, je n'ai pour le moment pas de reponse. Je n'en aurais pas avant un petit moment de toute façon; je veux me laisser de temps de m'intéresser vraiment à la photo, m'améliorer, parler avec des pros et pourquoi pas participer à quelques expos.. On me dit doué pour ça, la photographie.
Cette passion a repris alors que je marchais dans les rues de Nice.
Au hasard d'un trajet je suis tombé sur une boutique d'appareil photo, une sorte de depot vente. Un appareil m'avait alors frappé la rétine : un appareil à soufflet... un rêve de gosse.
J'entre alors dans la boutique et je fais alors connaissance avec Bernard.
Lui posant des questions sur cet appareil, me vinrent alors une floppée d'autres questions. Je craignais de l'ennuyer, bien au contraire. Les question tombaient les unes après les autres, j'étais impressionné par la gentillesse de ce photographe.
Une heure, plus peut être, s'écoula; j'étais bien, dans mon milieu.
Il m'avait à ce moment là montré, expliqué et raconté beaucop de choses; jamais un cours ne fut aussi passionnant... Je me rappellais des cours de photo avec mon père, je buvais déjà ses paroles.
Je promettais de repasser le lendemain avec mon Nikon pour tester un objectif à mirroirs. Il me demanda alors mon prenom, il me donna le sien.
Tenant parole, j'arrivais le lendemain avec mon matériel. Je le retrouvais dans l'arrière boutique. Il me confia l'objectif que je m'empressais de monter sur mon boitier; nous sortîmes pour l'essayer. Il me proposa ensuite de lui tirer le portrait, la photo est dans ma gallerie. Une fois mes tests faits, nous parlâmes durant un bon moment. C'est alors qu'il voulu me montrer quelques uns de ces derniers tirages, en argentique.
J'étais impressioné, encore une fois. Sur le point de partir je le remerciais de m'accorder autant de temps; il me dit alors : "Un jeune aussi passionné qui s'intéresse à la photo comme vous c'est rare!" Il me dit aussi qu'il avait senti en moi quelque chose "comme de l'excellence".
Je suis resté con, c'est le mot. Je promettai alors de repasser dès que je le pourrai.
Folie passagère ou révélation? Tout cela me semble bien trop manichéen; la vie n'est pas noire ou blanche, mais en dégradé de gris.
Wait'n see comme ils disent... en attendant je vais me l'acheter, ce vieil appareil à soufflet.
Que faire? Le choix le plus raisonnable est de continuer la licence - l'école d'ingénieur si possible - et d'aviser par la suite; pourtant quelque chose m'attire ailleurs.
"Métier pas sûr" clameront certains, "Tu es fou" diront d'autres.
Ces mises en garde je les connais pour les avoir proférées à maintes reprises moi aussi, mais un doute s'intalle quand bien même en moi lorsque j'ai mon reflex en main.
Un grand père photographe professionnel, un père amateur de photo et moi qui suis passionné.. La fibre familiale, à croire que j'ais réellement ça dans les veines.
Que faire donc? Le métier dans lequel on se sent heureux, ou bien choisir le lucratif?
Même si mes études n'ont pas pour vocation première l'argent, je n'ai pour le moment pas de reponse. Je n'en aurais pas avant un petit moment de toute façon; je veux me laisser de temps de m'intéresser vraiment à la photo, m'améliorer, parler avec des pros et pourquoi pas participer à quelques expos.. On me dit doué pour ça, la photographie.
Cette passion a repris alors que je marchais dans les rues de Nice.
Au hasard d'un trajet je suis tombé sur une boutique d'appareil photo, une sorte de depot vente. Un appareil m'avait alors frappé la rétine : un appareil à soufflet... un rêve de gosse.
J'entre alors dans la boutique et je fais alors connaissance avec Bernard.
Lui posant des questions sur cet appareil, me vinrent alors une floppée d'autres questions. Je craignais de l'ennuyer, bien au contraire. Les question tombaient les unes après les autres, j'étais impressionné par la gentillesse de ce photographe.
Une heure, plus peut être, s'écoula; j'étais bien, dans mon milieu.
Il m'avait à ce moment là montré, expliqué et raconté beaucop de choses; jamais un cours ne fut aussi passionnant... Je me rappellais des cours de photo avec mon père, je buvais déjà ses paroles.
Je promettais de repasser le lendemain avec mon Nikon pour tester un objectif à mirroirs. Il me demanda alors mon prenom, il me donna le sien.
Tenant parole, j'arrivais le lendemain avec mon matériel. Je le retrouvais dans l'arrière boutique. Il me confia l'objectif que je m'empressais de monter sur mon boitier; nous sortîmes pour l'essayer. Il me proposa ensuite de lui tirer le portrait, la photo est dans ma gallerie. Une fois mes tests faits, nous parlâmes durant un bon moment. C'est alors qu'il voulu me montrer quelques uns de ces derniers tirages, en argentique.
J'étais impressioné, encore une fois. Sur le point de partir je le remerciais de m'accorder autant de temps; il me dit alors : "Un jeune aussi passionné qui s'intéresse à la photo comme vous c'est rare!" Il me dit aussi qu'il avait senti en moi quelque chose "comme de l'excellence".
Je suis resté con, c'est le mot. Je promettai alors de repasser dès que je le pourrai.
Folie passagère ou révélation? Tout cela me semble bien trop manichéen; la vie n'est pas noire ou blanche, mais en dégradé de gris.
Wait'n see comme ils disent... en attendant je vais me l'acheter, ce vieil appareil à soufflet.
New York.
Me voila de retour de NYC !
Que dire de ces 12 jours de voyage ? Tout d'abord que j'en ai pris plein la vue et j'en veux pour preuve : je ramène avec moi plus d'un millier de photos!
D'ailleurs, je m'y suis dégoté un nouvel objectif pour mon Nikon: un 55-200mm (valeurs en 24x36 me semble-t'il) de chez Nikkor, pour 450$ soit 280. En france, j'en aurais eu pour plus de 700.
Sûr de moi, je décide d'aller marchander à la fin du séjour un monoculaire de vision nocturne de chez Bushnell. Prix affiché 700$ sans les taxes.. prix final 260$ avec les taxes.
Compte rendu !
Il était grand temps de mettre à jour ce journal !
Bon sang, le dernier article datait tout de même du 22 juin..
Quoi de nouveau ? Pas mal de choses.
Tout d'abord la photographie. J'avoue en avoir toujours fait, mais avec des moyens assez deplorables (Tutur tu confirmeras ^^). Cette fois ci j'envoie du lourd.
Mon matos ? Minolta srt 101, focus manuel, objectif fixe 50mm, bientôt un autofocus et peut être un reflex numérique pour Noël.
J'ai récement posté quelques unes de mes photos d'ailleurs.
Du coté de la fac, tout roule, mis à part que les partiels arrivent.
On commence à a
Vacances...
Enfin les vacances, le bac est passé... 3 mois et demi vu que je vais en fac; n'en deplaise aux autres !
Après avoir pas mal bossé durant cette année de merde qu'est la terminale, je me retrouve devant un dilemme de taille : que puis-je bien foutre de tout ce temps libre ?
Glander ? Dormir jusqu'à midi ? Passer tout mon temps derrière le pc ?
Tout de même, je ne puis perdre autant de temps inutilement !
De plus, vacances vient de "vaquer" qui signifie "s'atteler à quelque chose" !
Il conviendrait donc de ne pas trahir cette définition.
Ce faisant, je me suis décidé à me met
© 2009 - 2024 nexus06
Comments2
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Finis au moins ta licence, après tu pourras te faire plaisir ! Sinon "Mdr, une fac de photo" je te le rabâcherais ! Finis ta licence et je serais a fond derrière toi ! Les concours ce sera pour plus tard ! (Mon ange, soit dit en passant, tu te contredis...)
Non mais !
Il est des fois où l'on se demande qui est le plus feignant des deux !
Beber a l'air d'un mec très sympa, il a même une bonne bouille. Mais aujourd'hui, les temps sont durs. La photo ? Ok, tu as du talent, tu arriveras a le mettre a profit. Mais si personne ne veut de toi malgrès tout ton talent... Ben tu les enculeras tous, parce que tu auras ta licence. Et puis si un jours photographier les plus belles demoiselles de la planète te barbe (hahaha !) Ben tu pourras changer.
Après, mon fils, il sera trop tard !
Que la force soit avec toi !
- Et avec votre Esprit ! Amen !
Ouch, l'est moche le monologue, je vais me pieuter, j'ai le neurone complètement barré !
Non mais !
Il est des fois où l'on se demande qui est le plus feignant des deux !
Beber a l'air d'un mec très sympa, il a même une bonne bouille. Mais aujourd'hui, les temps sont durs. La photo ? Ok, tu as du talent, tu arriveras a le mettre a profit. Mais si personne ne veut de toi malgrès tout ton talent... Ben tu les enculeras tous, parce que tu auras ta licence. Et puis si un jours photographier les plus belles demoiselles de la planète te barbe (hahaha !) Ben tu pourras changer.
Après, mon fils, il sera trop tard !
Que la force soit avec toi !
- Et avec votre Esprit ! Amen !
Ouch, l'est moche le monologue, je vais me pieuter, j'ai le neurone complètement barré !